![]() ![]() I want to be very clear : I played the game when it was released (and many more times after), I talked a lot about it with PC and Amiga gamers, so I just can't understand the reactions here.įirst, let me get this straight : Flashback IS NOT a sequel to Another World. Wenn es Dich einmal in seinen Bann gezogen hat, kannst Du Deine anderen Games die nächsten 3-4 Wochen sorglos verleihen, denn so schnell spielst Du sowieso nichts anderes. Aber wie Another World ist auch Flashback ein Suchtmodul. Genau hier werden sich aber die Geister scheiden, denn selbst auf “Easy“ (leicht? ha ha!) werden die Geduldsnerven auf eine harte Probe gestellt und des öfteren sind nicht druckbare Flüche und Wutausbrüche die Folge. Manche sind zwar ultrahart, aber eben nicht unfair. Im gesamten Spiel sucht oder wartet man glücklicherweise vergebens auf technische Fehler oder irgendwelche unfaire Stellen. Vor allem aber die Animation des Titelhelden sucht im Konsolenbereich ihresgleichen, diese kann man nur als perfekt bezeichnen. Im Gegensatz zu Another World ist die Grafik der pure Wahnsinn: detailliert, abwechslungsreich und tolle Farben, vom Feinsten. Un jeu à découvrir d'urgence, si ce n'est déjà fait.Įs ist fast nicht zu glauben, aber Delphine Software setzt wirklich noch einen drauf. En y ajoutant une réalisation irréprochable, une mise en scène bluffante et une jouabilité inattaquable dans un univers qui aura rarement paru aussi palpable, on comprend immédiatement que ce Flashback soit toujours considéré aujourd'hui comme le magnum opus de Paul Cuisset. ![]() Que l'on explore New Washington en métro, que l'on participe à un show télévisé à la Running Man ou que l'on fuie à toutes jambes une planète extraterrestre peuplée de polymorphes, il est fascinant de voir que le jeu ne fait jamais l'erreur de rester sagement engoncé dans une zone de confort où il ne jugerait plus nécessaire de chercher à nous surprendre. Longue aventure où le scénario a pour une fois un intérêt autre que purement cosmétique, le titre imaginé par l'équipe de Paul Cuisset parvient à aligner les moments de bravoure en introduisant une variété aussi subtile que bienvenue dans ce qui aurait pu n'être qu'une suite de fusillades écran après écran.
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